Entraîner le cerveau de son enfant avec le Neurofeedback

Entraîner le cerveau de son enfant avec le Neurofeedback

Entraîner le cerveau de son enfant avec le Neurofeedback

Cette méthode d’entraînement cérébral consiste à enregistrer l’activité électrique du cerveau avec des capteurs placés sur le cuir chevelu pour l’informer ensuite d’une anomalie par un signal. Le cerveau cherche alors à s’autoréguler pour revenir sur le moment présent. Problèmes de concentration, de sommeil, épilepsie, dépression… le neurofeedback serait efficace face à de nombreux troubles psychologiques, notamment ceux du déficit de l’attentionavec ou sans hyperactivité (TDAH).

Un complément aux traitements classiques

La pratique a plus de 40 ans, mais elle tend à se démocratiser en France et est déjà largement plébiscitée dans d’autres pays comme les Etats-Unis, le Canada, l’Allemagne ou les Pays-Bas. S’il n’est pas encore reconnu par la Haute autorité de santé (HAS), de nombreuses études ont validé l’efficacité du neurofeedback comme thérapeutique complémentaire pour les TDAH. Pour les enfants hyperactifs, il ne s’agit pas de se substituer à un traitement médicamenteux ou à un suivi psychologique. Mais plutôt d’un complément qui permettrait de diminuer progressivement les doses et qui aurait prouvé son efficacité sur de nombreux utilisateurs : meilleure attention, amélioration des capacités de lecture, contrôle de l’impulsivité, sensation de calme et de sérénité… Les résultats peuvent se constater au bout d’une séance mais pour que des changements durables soient enregistrés par le cerveau, une dizaine de séances est préconisée (voire une vingtaine pour les hyperactifs). Les séances sont totalement indolores et comme il s’agit d’une méthode non invasive, il n’y a pas d’effets secondaires (éventuellement une fatigue après la séance).

Ma technique

Le neurofeedback dynamique, avec la méthode NeurOptimal© : la personne est passive, regarde un film ou un dessin animé ou écoute de la musique et n’a rien à faire, elle peut même s’endormir. Lorsque le logiciel détecte une « turbulence » envoyée par le cerveau, une brève interruption sonore a lieu. Le cerveau est donc alerté et cherche à se réguler.